La rééducation en bassin peut profiter à de nombreux patients tant du fait de la portance proposée que des possibilités de résistance. La prise en charge des pathologies orthopédiques, mais aussi neurologiques et gériatriques relèvent aisément de l’utilisation de l’eau dans un contexte rééducatif.
La rééducation en bassin peut profiter à de nombreux patients tant du fait de la portance proposée que des possibilités de résistance. La prise en charge des pathologies orthopédiques, mais aussi neurologiques et gériatriques relèvent aisément de l’utilisation de l’eau dans un contexte rééducatif.
Les patients souffrant d’atteintes motrices d’origine neurologique présentent parfois des troubles cognitifs pouvant freiner le déroulement de la rééducation. Pourtant, il existe des leviers permettant de faciliter l’observance de ces patients afin d’optimiser leur prise en charge et leur récupération.
La pathologie extrapyramidale nécessite une prise en charge spécifique qui diffère de celle des AVC. La prise en charge nécessite une participation active du patient par l’intermédiaire d’exercices particuliers.
Cette formation doit permettre d’effectuer un bilan précis et une évaluation affutée permettant de mettre en œuvre les techniques efficaces pour soulager les douleurs liées à des tensions tissulaires et gagner en amplitude.
L’approche des tensions musculaires est fréquemment indiquée en pratique quotidienne tant dans le domaine de la rhumatologie que de la traumatologie et de l’orthopédie. Au-delà des « classiques » levées de tension, il existe une approche reconnue basée sur le relâchement par le positionnement articulaire.
Le kinésithérapeute est fréquemment amené à traiter en pratique quotidienne des patients présentant des tendinopathies. D’après la littérature, différentes parties du muscle peuvent être concernées par ces atteintes traumatiques ou dégénératives douloureuses : les insertions, le corps du tendon mais aussi l’enveloppe du muscle.
Ce séminaire s’intéresse aux symptômes neurogéniques relevant d’un syndrome canalaire ou d’un conflit disco-radiculaire. Les techniques utilisées pour traiter ces dysfonctions et proposées lors du séminaire sont peu connues en France ; et pourtant elles sont utilisées avec succès par un grand nombre de physiothérapeutes à travers le monde : les neuroglissements des nerfs périphériques.
La présence d’une faiblesse musculaire est très souvent rencontrée par le praticien autant en post-opératoire que dans le cadre des pathologies chroniques (lombalgie…). La récupération de capacités utiles passe par la réathlétisation qui nécessite de mettre en place un programme spécifique, progressif adapté à l’évaluation initiale de la résistance musculaire.
Les patients souffrant d’atteintes motrices d’origine neurologique présentent parfois des troubles cognitifs pouvant freiner le déroulement de la rééducation. Pourtant, il existe des leviers permettant de faciliter l’observance de ces patients afin d’optimiser leur prise en charge et leur récupération.